13 novembre 2014

Chevalent – Kaïzer

Coucourses du lundi;
je décide d’aller au Kaïzer pour changer, dans l’espoir qu’un peu de standing me remonte un peu le moral

en bas de chez moi je trouve un meuble un peu pourri mais ça va … je le remonte chez moi … +1

j’arrive au kaïzer, c’est le crépuscule, c’est plein de bobos et de minettes en bottes (c’est ici que les gens ressemblent le plus à des parisien(ne)s

bon j’ai pas l’intention d’avoiner … je prends l’essentiel .. + des petites saucisses sèches pour le plaisir et un cahier pour l’école .. et aussi un claquos des Vosges … mais tout est assez cher

au rayon déo c’est trop cher alors je vais encore puer cette semaine

je n’y reste pas trop longtemps; au rayon surgelé y’a une blonde qui choisit une pizza, genre jeune allemande studieuse; je la retrouve à la caisse, ça se confirme parce qu’elle prends 2 pauvre soda avec .. même pas une bière .. enfin tout ça me laisse drôlement indifférent.

la caissière est super vieille, ou super usée, ou les deux, enfin on dirait Jean Gabin en femme allemande quoi.
R.A.S sauf que j’en ai pour 21,24 euros pour pas grand chose donc un peu vener’.

A part le cahier ça valait vraiment pas le coup de venir ici. J’ai même pas trouvé de poulet qui avait l’air convenable ce qui aurait pu faire la seule raison valable.

Benefice immédiat tout de même en rentrant avec les saucisses sèches que je bouffe en 10 minutes … ok merci les 2,20 euros que ça valait. Mais ça remonte la note d’un demi point à peine.

Tfasson aujourd’hui c’est un peu global mcheunmness.

4/10


3 novembre 2014

Anonyme – Auchan

vous me faites marrer à compter vos centimes, moi j’arrive je prends plein de trucs sans regarder, je sors et j’en ai pour 100 euros

10/10


10 août 2014

Chevalent – Netto

Aujourd’hui   o netto

j’ai pris de la viande de valche yavait soneper a la kess*
jsuis rentré
trop benef 11 euros pour 3 jours
en fint 2 jours parce qu’on est deux à bouffer maintenant
viande a chier LOL

10/10


10 juillet 2014

Senohscrew – Lidl UK

L’autre jour avec ma blonde on se décide enfin d’aller faire les courses car nos placards étaient vides…
Au début on allait souvent à ASDA à la Marina car on peut y aller en voiture et on voulais se faire des courses à la British quoi. Il y’a peu de temps on a découvert un Aldi et un Lidl. Je vais vous faire donc par de l’histoire de l’autre jour à Lidl.

On a bien pris soin de prendre des sacs plastiques à la baraque car on en a plein et chaque fois c’est relou de les repayer. On y est allé avec un sac ASDA et un sac ALDI (où le logo est super enfin j’aime bien quoi). Je sais pas si ça vous est déjà arrivé ça mais aller dans un supermarché avec des sacs d’un autre supermarché ça me fout un peu la rachouma… Et vous ? Enfin bon je continu.
On arrive kiltran sur le parking on gare la caisse (genre conduite à gauche dans une voiture Française quoi ) ou le sens de circulation est bien sûr .

On rentre avec un caddie peinard en se disant faut qu’on en aie pour 30£ au moins car notre budget est un peu limité en ce moment. On se sépare dans le magasin pour aller plus vite, moi je file aux achats rudimentaires :
Bacon fumé et oeufs pour le matin. Plusieurs paquets de pâtes (y’a oas trop de choix Fusini ou Penne) des sauces pour accompagner bref tout le brica-brac nécessaire à la survie d’un couple à faible moyens. J’aime bien le Lidl en UK car ils n’ont pas les mêmes produits qu’en France, niveau bières y’ena pas mal et des bonnes en plus, aprés y’a plein de trucs locaux, je cherche dans les rayons peinards, y’a des familles de prolos et des jeunes avec leurs jeans retroussés et bonnets à la commandant Cousteau. Les rayons sont bien rangés et ça sent le propre. C’est plus cool quoi. En me baladant dans les rayons je retombe sur ma meuf avec dans les bras plein d’achats inutiles ( vrai nuttela, vrais kinder bueno, gateaux en tout genre, produits bio de mes couilles) plein de trucs qui coutent chers et dont on n’a pas besoin… Je ne cherche pas a relever car elle va faire son caprice. Arrive la fin des coucourses on se dirige vers la caisse. y’a la queue, ça prend du temps la seule caissière appelle du renfort et une blondasse avec maquillage truelle arrive. Elle fait un peu le gueule et elle a une dent carriée sur le devant, elle sent le parfum trop random (elle a dut commencer son shift y’a pas longtemps) elle est quand même aimable.

On passe avec un gros caddie plein de trucs, arrivé à la fin le total est de 80£ (ma meuf à encore acheté des trucs…) Je file de la thune a ma meuf en rouspetant (trop cher… tes trucs de merde quoi…. pas besoin…) elle paye avec sa carte bancaire Francaise (une mastercard) et la la caissière nous dit non on prend pas les credit cards. Alors moi je lui dit pourquoi et elle me répond parceque. alors on lui dit qu’on va aller chercher au distri-banque de la thune. J’y vais sous la pluie et le froid, je met bien 5 minutes à le trouver. Mais c’est bon j’ai le pognon. Je reviens, entre temps elle a fait passer des clients elle rechope notre caddier et scanne le ticket et on paye.

On charge la voiture et c’est a ce moment là que le sac ALDI décide de se déchirer avec le pain de mie et les cotton tiges qui tombent sur le sol mouillé…….

Des courses qui devaient être utiles se sont transformées en shopping intense de produits trop chers…. Ces courses valent un bon 4/10 .


2 juillet 2014

Chevalent – Netto

Aujourd’hui pour moi Netto again (et ça risque de durer avec le compte en banque que j’ai présentement) mais pour varier un peu j’y suis allé avec la taupe au guichet et une dalle de taré, histoire d’avoir un peu de pression. Bon j’ai fait un détour pour aller pécho un timbre (briefmarken) pour envoyer mon relevé de gaz de merde.

R.A.S j’ai fait un peu comme d’habe … y’avait du monde comme d’habe … assez à noter il fait un peu meilleur alors les keupons du quartier se remettent à faire la manche avec leurs chiens. Ils sont généralement assez sympa et pas tristes/pathétiques comme des vrais mendiants donc ils sont pas déprimant.

Yavait un mec l’air paumé avec son caddie que j’ai pris pour un espagnol.

J’ai eu la même caissière que la dernière fois (la vieille) qui a expédié mes commissions au lance pierre, ma rendu la monnaie limite jte la jette à la gueule et deux clients ont pu passer le temps que j’arrive à tout remballer dans mon petit sac en tissu de hipster de merde. J’en ai eu pour 11,13 euros ce qui est plutôt win vu que y’a deux jours de bouffe dedans.

Sinon sur le chemin j’ai repensé à la vieille caissière et je me disais que ça doit faire longtemps qu’elle fait ce putain de job trop de marde vu que je la vois tout le temps. Ca ca m’a attristé un peu plus. Franchement vaut mieux être punk.

Note coucourses:  6/10 , rien de ouf, la routine … et puis pas de bénéfice immédiat, je dois faire cuire le poisson surgelé, c’est long.


12 juin 2014

Ln – Dans le supermarché ATAC de La Queue-Lez-Yvelines

J’aime bien faire mes courses là bas, vu que j’y bosse. Nous sommes en 2001, et que je peux récupérer discrètement des trucs à J-2 qui partent à la benne et me choper régulièrement des Echérichiasse Colique.

Je rentre dans le magasin, bonne ambiance générale avec Mary J Blige en fond sonore, je me sens pleine d’allant. (affaire de famille en français).

La liste en main, parce que sans liste tu peux être sûr que tu oublies tout ce qui est important, comme le pq.

Objectif du moment, trouver des cotons-tige. Les rayons sont superbement agencés, de façon à ce que chaque consommateur soit obligé de passer partout pour acheter le minimum vital. Je connais tous les trucs, alors je coupe par le rayon tampons (j’en profite pour prendre mes 3 paquets pour le mois en cours), et arrive dans celui que je préfère, les produits d’entretien du corps humain.

Les gens sont pour le moins nonchalants, personne ne semble stressé, j’entends même un “bonjour » ce qui a le don de me foutre la rage, mais je ne dis rien, j’ai autre chose à foutre, on verra pour tuer tout le monde plus tard.

Soudain, nez à nez avec un vieux d’au moins 49 ans, qui fait une tête de plus que moi, cheveux grisonnants, moustache sexy, calvitie érotique, jogging gris clair.

L’aïeul m’adresse la parole. Je l’aurais baffé. Mais j’ai appris la patience. Je ne dis rien et opine du chef allègrement avec un sourire en coin. Je l’imagine mourant dans un an ou deux et ça va mieux.

Il me demande où peuvent bien se trouver les sacs poubelle.

Je réfléchis une microseconde et lui donne la bonne réponse et là je le vois qui commence à se pisser dessus. Et qui fait l’air de rien. Et qui finit.

Toujours l’air de rien.

Il me dit merci et s’en va avec l’air de pas grand chose.

J’observe la flaque restée au sol, réminiscence d’un temps où l’air ne ressemblait pas à quelque chose de bien défini.

Je continue mes courses, et paye auprès d’une caissière à qui il manque une dent du haut de devant.

Elle est moche et con. (je la connais en vrai, je bosse là, je peux le dire qu’elle est con.)

Je lui sors mon plus beau sourire de connasse et rentre chez moi pleurer en boule derrière mon frigo.

NOTE: 10/10 WOULD TOTALLY BANG


10 juin 2014

Chevalent – Netto Allemand

Aujourd’hui, un bon gros lundi de merde bien pluvieux en bochie, j’ai bien attendu 3 jours avant de faire mes courses du retour, du coup j’ai vidé tous mes placards et là j’y vais avec un gros sac IKEA que je vais pouvoir remplir à ras bord

je suis allé au Netto (equivalent lidl environ) parce que c’est grave moins cher que le nouveau Kaïser (equivalent monoprix plutôt) qui a ouvert récemment pas loin.

Le netto c’est parfois un peu stressant quand ya du monde avec ses rayons supers étroits et tout le monde se sent obligé de prendre un gros caddie quand même pour y foutre une barquette de biscuits (sans dec, je vois ça sans arrêt, coutume locale ? ) mais là il est 14h00 y’a pas trop trop de monde.
la population est assez hétéroclite comme d’habitude, pas mal de jeunes , des vieux, des demis-charclos, des meufs.

je prends des patates et des conneries à stocker un peu, et une “kartoffel salad” prête à bouffer parce que j’ai pas envie de cuisiner,

je fais bien le tour de tous les rayons pour être sûr de rien oublier
je vois un mec ou une meuf qui porte un genre de voile, on voit pas du tout sa gueule, on dirait un peu un(e) musulman(e) sauf que je le(la) vois acheter 5 paquets de jambon.

la caisse y’a presque personne, je passe presque immédiatement

la caissière est une vieille que je vois souvent ici, aujourd’hui elle a l’air un tout petit peu plus stressée que d’hab mais ça va elle est parfaitement aimable, mais elle ne sourit pas du tout. mon gros sac est plein mais j’en ai que pour 20 euros quand même, au kaïzer je suis sûr que ça m’aurait fait dans les 30 au moins.

je rentre il pleut toujours c’est un peu lourd mais pas de stress.

je mange ma kartoffel salad pleine de mayo avec du pain de mie.

Moralité : les coucourses fut appréciables en raison de leur rapidité et leur efficacité globale. 7/10


5 juin 2014

Hummel – NahKAUF

Jourdhui NAHKAUF — proximachat en FR — un minimarkt que j’ai découvert de l’autre côté du kanal. Même chaîne que le REWE suprabourge accessible sans pont, mais moins reuch semble-t-il. Le chemin vers le NAHKAUF est plus agréable ; on longe le kanal sur 200m, puis petit pont piéton, sorte de passerelle arquée qui ressemblerait presque, par temps clair, au nippon des nymphéas de Monet.

Le NAHKAUF est là. C’est une supérette de quartier, mieux fréquentée qu’un NETTO, plutôt tenue. Les produits REWE, chers et chichiteux, façon saveurs du monde étiquettes blanches liserés dorés, sont à hauteur d’yeux. Les produits JA (“OUI”), marque discoune de référence, à hauteur de lombo-sciatique.

En entrant, le rayon légumes est mon ami, je le connais bien, j’y passe 60% de mon temps de courses. J’enfile les couleurs dans l’ordre décidé par la direction, les étals s’offrent rouge en preums (poivrailles diverses, tomates) vert en deuz (courges), orange (carottes), puis mes mouvements s’emballent et je fourre dans mon sac les ognidés dont je raffole (les schalotten, zwieb, ail). En période faste, arrêt aux avocats ; le stand allemand des avocats est tjrs bien garni, même hors saison (aucune idée de la saison, mais certitude que cette permanence est douteuse).

J’enchaîne généralement sur une collection de boîtes de thon, toujours les moins chères, car il est apparu que tous les thons s’y valent — PLUS je parie sur du cheval, au moins à l’état de traces, chez tous les fabricants de thons. Les œufs, où sous influence je choisis la boîte où les poules semblent heureuses et libres, mais aucune étiquette n’exhibe fièrement des bestioles en batterie.

Achats plus rares, ou répondant à une autre régularité, et auxquels deswegen il faut penser : toilettenpapier, kaffee ; cette fois c’est noté, je ne referai pas le trajet une deuxième fois le froc empouillé. Mes achats se limitent à ça, quand le stock d’épices n’est pas à renouveler.

À la caisse, j’ai toujours l’impression d’arriver au moment de grâce ou qqun gueule dans le micro “ZWEITE KASSE BITTE”, et je passe devant tous les gens qui schlanguissaient depuis vingt minutes ; bizarrement, les Allemands sont pas contre, alors qu’en France on se fait parfois regarder louchement. Je passe, calcule toujours attentivement le ou la caissier/ière, mate discretos le nom de famille sur l’étiquette (celle-ci a nom polonais, celle-là est une vraie schmidt, lui est turc, voilà un slave) mais ne parvient pas à me les marquer, j’oublie toujours.

Je m’en sors pour ca. 12€, mais ce ne sont que deux jours de vapeurs au thon — les temps sont rudes. Je quitte en saluant le type qui vend sa feuille à l’entrée, et que je crois être Roumain.

NOTE : 9/10, je ne plains de rien, je vais mon petit bout de bonhomme de chemin, le thon est un ami fidèle, les légumes se comptent sur les doigts d’une main comme recommandé par le ministère, j’ai mon quota d’épices pour ménager ces petits chômages postprandiaux qui mènent à la sieste ; je garde les tickets en espérant qu’on découvre du cheval remboursable dans mes achats des deux derniers mois.


31 mai 2014

Technicien – Lidl

Coucourses d’avant-hier.
Je vais chez Lidl et je prends pour un euros cinquante-six de pâtes qui vont me faire les dix prochains jours, il y a un kilo de fusili et un kilo de spaghetti, je remarque que les bio ont été remplacés par des aux oeufs, j’habite vraisemblablement pas dans un quarier de rupins, ainsi que des lardons, du concentré de tomates, des petits suisses, du gruyère râpé, du faux boursin, deux tablettes de chocolat qui laissent penser qu’il ne sera pas trop merdique au vu de l’emballage, encore d’autres choses qui m’échappent, j’en ai pour huit euros cinquante. La caissière est aimable, économise ses paroles, et a un gros accent portugais qu’elle dissimule comme elle peut. Il n’y a pas de verbe dans ses phrases. Le client derrière moi n’a que des grandes boîtes de bière blonde de luxe, il a le temps de se faire encaisser pendant que j’emballe mes affaires.
Je passe à l’épicerie orientale du boulevard, j’y prends une plaque de trente œufs, des olives, du piment, j’en ai pour cinq euros. J’aurais bien acheté de l’ayran mais c’est trop cher pour moi en ce moment. Un gosse insupportable échappe à l’attention de sa mère et fait volontairement tomber une bouteille d’un soda à la pomme. La bouteille éclate, le liquide a une odeur de produit nettoyant aromatisé, il est d’un vert quasiment fluorescent. Le caissier pleurniche sans pour autant blâmer la femme ou l’enfant, il appelle le manutentionnaire pour qu’il nettoie. En sortant, sans faire attention, mon talon gauche rencontre une expansion de la flaque, à un mètre cinquante de l’épicentre, ça poisse et ma chaussure adhère au sol et produit un bruit dégueu sur une vingtaine de mètres.
Tout se passe correctement, jusqu’à ce que je me fasse avoir de dix euros par le dealos.
J’ai attendu deux jours histoire d’avoir un peu de recul sur ce dernier point, après le mcheun.
Je mettrais un 4/10.


29 mai 2014

mnsr.cnnrd – COLRUYT – 18h10

Hier soir, après le boulot, éreintant aujourd’hui, réparation d’une fuite dans une fosse sceptique, je pue le mort après 3 douches, mes doigts ont des  odeurs de merde fermenté (mélange savant de matière fécale et de produits chimiques en tout genre). Je suis gêné en entrant dans le petit supermarché saint pourcinois, par l’odeur que je dégage et mes deux lanternes oculaire, allumé en rouge feu, résultat d’une habitude certaine à trop fumer de pétards en travaillant.

Il fait froid dans ce magasin, le choc thermique post bédave me fait toujours du bien, les employées en orange rangent les bouteilles d’eau, je ballade mon caddie suivant un sillon, tracé par mes habitudes. D’abord l’eau gazeuse, 2 packs, l’eau des robinets Vichyssois, contre toute attente pour le touriste du 3eme age, est absolument dégueulasse, obligé de se farcir les 4 étages a pieds, Vichy Reine des Eaux.

Si je vais à Colruyt, supermarché Belge, nouvellement implanté de la région, et que personne ne sait prononcer, (il ya même désaccord sur ce sujet chez les employés du magasin), est que les bieres belges n’y sont pas cher, et le choix plus nombreux.

Apres l’eau, la bière, 2 packs de leffe, dont une a 9 degré. et 3 chimay bleu; mon sourire revient à l’idée de rentrer chez moi, et de les boire une a une.

Obligé de rentrer dans la chambre froide, pour y prendre légume, beurre, jambon, fromage, yogourt de soja, j’aime beaucoup cette pièce car toute personne qui y entre, émet un son. BRRRZZZ. et un commentaire : “tu vois raymond, je t’y avais dit, qu’y t y fallait ta chtite laine”.

plus je m’enfonce dans le magasin, plus je veux en sortir, mais ayant la liste en main concocté par ma chérie, je ne peux encore une fois me défiler en jouant sur le fait que ma mémoire serait un peu foireuse. j’ai la liste en main. lait de soja, crème pour les mains, chocolat noir etc….

Arrivé en caisse, je croise exactement les mêmes clients que le vendredi d’avant et que celui d’avant etc…. dont un couple de 50/65 ans, impossible à le savoir, couple que j’imagine paysan mais genre paysan consanguin avec un tracteur de 1970, la femme est énorme, à les cheveux en brosse, corps ruiné par la maladie, je met derrière eux dans la queue car j’aimerais les entendre parler, ils doivent parler avec des mots que j’aimerais apprendre, mais ils ne parlent jamais. payent en cash leurs achats hebdomadaire, je les recroiserais plus tard au volant de leur J9 bétaillère; enfin mon tour, merde changement de caissier je me tape le teubé de la bande, qui n’arrive toujours pas a différencier : les pêches des nectarines, les blanches des jaunes, obligé de contrôler ce qu’il fait, il m’a baisé une fois de 5 euros, cette fois ci il ne m’aura pas.

je paye 54 euros et quelques, je m’en suis bien sorti aujourd’hui, de quoi aborder le week end

dur a noter cette aventure , allez je dirais 6/10,


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